18. mars, 2018

Mon père

J'ai supprimé un post qui parlait de lui, de la façon dont il était soigné par tous les membres de sa famille ... C'était trop dur d'étaler sa souffrance et la notre . Pourtant, c'était intéressant , ne serait ce que pour juger notre comportement ...  j'aurais peut-être du le laisser anonyme, mais j'ai effacé d'un coup de colère envers moi même , contre l'exhibition des miens sans leur consentement ...

Trop dur de se détacher, d'analyser nos réactions... en même temps, je suis plus indulgente depuis avec lui ; Papa je t'aime, mais tu es si difficile à soigner, avec tes représentations de la vérité ; on est tous plus ou moins dans nos vérités , on croit qu'elle nous protègent mais non, peut-être qu'elles nous rassurent, elles nous éloignent sans doute les uns des autres et le chemin de nos rencontres s'en trouve encore plus tortueux .

Derniers commentaires

20.10 | 13:03

la gourmandise, la paresse, la luxure, l'avarice, la colere, l'envie, l'orgueil

17.10 | 00:55

La subjectivité doit être respectée à tout prix, il faut juste réajuster les défauts capitaux du cerveau du malade .

12.05 | 13:55

Et je sais aussi, que cette conscience extra ordinaire est choquante pour la conscience ordinaire ...

03.05 | 17:48

Je sais bien que c'est une façon de voir les choses particulière, surtout la compétence, mais je les vois avec une autre conscience que la conscience commune .